HomeA la uneATTENTATS TERRORISTES : La Tunisie frappée au cœur de la République  

ATTENTATS TERRORISTES : La Tunisie frappée au cœur de la République  


 

En pulvérisant le bus de la garde présidentielle, la pieuvre terroriste a voulu envoyer un message fort : détruire la République en démolissant un de ses symboles les plus puissants, la garde présidentielle.  Ainsi, après les tueries ignobles de Sousse, l’attaque imbécile du Musée du Bardot, la race insensée des fous d’Allah semble avoir juré de ne donner aucun répit à la Tunisie. En choisissant l’heure et le lieu du crime, ils étaient sûrs de faire beaucoup et très mal. 17h, c’est l’heure de la descente des agents de l’Administration et le boulevard Mohamed V est suffisamment fréquenté en ces moments-là.  Qui arrêtera donc la spirale  terroriste en Tunisie et plus généralement dans le monde ? En tout cas, Tunis est assurée de n’avoir ni répit ni concession de la part de cette engeance de vipères qui prend directement ses ordres auprès de Lucifer.

La dernière attaque de Tunis est un message destiné à mettre en berne le moral de la coalition

Une remarque s’impose : au moment où une coalition internationale se met progressivement en place, au moment même où le porte-avion Charles De Gaulle entre en action à partir des côtes irako-syriennes contre la horde des enragées de l’EI, la succursale tunisienne, comme pour narguer le monde entier, choisit de faire saigner, une fois de plus, l’humanité. Une manière comme une autre de dire à la planète que ces efforts contre le djihadisme, resteront vains.  Cette dernière attaque de Tunis est un message destiné à mettre en berne le moral de la coalition dont la mise sur pied fait courir utilement un grand fantassin du bien : François Hollande.  Mais on imagine facilement que face à la débauche d’énergie négative des ingénieurs du mal,  le président français suera à grosses gouttes en tant que chef de guerre.  Pourtant, il lui faut bien réussir, avec le concours de tous, pour arracher la planète des mains de ces barbares médiévaux.

« Le Pays »


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