BONJOUR


Avant de déguster des brochettes de viande dans un maquis de la place, j’ai voulu me laver les mains. A ma grande surprise, ni le vendeur de brochettes, ni le « maquis » où j’étais, n’avaient pris des dispositions en ce sens. Il y avait l’eau mais il n’y avait pas de savon. Pourtant, dans le cadre de la lutte contre la maladie à virus Ebola, le gouvernement burkinabè a, entre autres, recommandé le lavage des mains au savon le plus souvent possible. Les débits de boisson étant des lieux de regroupement où, généralement, les clients se restaurent, il serait bien que des dispositions soient prises pour permettre à ces derniers de se laver les mains surtout au savon qui élimine certains microbes. Cela contribuera certainement à renforcer l’hygiène individuelle et collective, un atout dans la lutte contre la maladie à virus Ebola et toutes les autres maladies liées à l’hygiène.

Thierry Sami SOU


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