BONJOUR


Ces derniers temps, avoir des condiments dans certains marchés de Ouagadougou, n’est pas chose aisée. Non seulement ces condiments coûtent si cher que s’en procurer devient de plus en plus difficile. Mais aussi, le comportement de certaines vendeuses laisse à désirer. En effet, certaines d’entre elles laissent souvent les fruits et légumes qu’elles vendent, à la merci des mouches et de la poussière sans se soucier des dangers que cela peut provoquer chez les consommateurs. Ce n’est pas agréable, quand on sait qu’il s’agit là d’une question de santé publique. Peut-être faudra-t-il que le Laboratoire national de santé publique ouvre l’œil et le bon sur ces dames insouciantes qui mettent en péril la santé de leurs clientes.

 

Valérie TIANHOUN


Comments
  • Si ce sont les cas d’insalubrité, on n’est pas vraiment un peuple exemplaire. Il semble qu’on est un peuple qui aime manger dans la poussière , la boue et assis au milieu des mouches.
    Quand on parle d’hygiène au Faso, on murmure que ce monsieur vit surement d’ailleurs , car il n’est pas de notre milieu. Ne dite pas à quelqu’un qui a des mains sales de les nettoyer avant de vous servir, il vous dira d’aller ailleurs.En fait le problème est profondément culturel et comme nous somme un peuple qui ne veut pas entendre ses insuffisances , alors bonjour la société de la médiocrité.

    24 juin 2015

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