BONJOUR


« Les morts ne sont pas morts, ils sont dans le vent qui souffle », disait Birago Diop.  Mais ceux qui reposent au cimetière de Tabtinga de Ouagadougou sont « inquiets ».  En effet, ce cimetière se trouve dans une situation pitoyable au point que certains se permettent d’y mener des activités commerciales. L’autorité municipale est donc interpellée. Pourquoi ne pas y ériger, par exemple, une clôture pour réduire à sa plus simple expression le désordre qui y règne ?  Toute chose qui permettra, d’une part, de séparer les concessions du cimetière, et d’autre part,  à nos morts de reposer sereinement à nos côtés.

Issa SIGUIRE


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