BONJOUR


Des fous, on en rencontre un peu partout dans nos villes et campagnes. Ouagadougou n’échappe pas à cette réalité,   car on y en voit à la pelle  à longueur de journée dans les rues. Mais là n’est pas le problème. Le hic, c’est que  certains de ces fous constituent une véritable menace pour la population,  parce que détenant par-devers eux des objets dangereux (couteaux, projectiles, gourdins, etc.). Ils déambulent ainsi parmi les gens et ceux qui les aperçoivent tôt, leur cèdent rapidement le passage. Mais cela  n’est pas suffisant, car pour une raison ou une autre,     on peut se faire agresser.  Ce qui est dangereux. Car, si le fou panique au même moment, il cherchera à se défendre. C’est pourquoi l’autorité municipale est interpellée. Il ne faut pas attendre que l’irréparable se produise avant d’agir. Car, ce serait « le médecin après la mort ». « Mieux vaut prévenir que guérir », dit l’adage !

Colette DRABO


No Comments

Leave A Comment