BONJOUR


 

De la viande exposée à la poussière que l’on transporte de maquis en maquis, on en voit tous les jours que Dieu fait, à Ouagadougou. En plus des conditions d’hygiène qui laissent à désirer, on en est à se demander si ce type de viande n’échappe même pas souvent au contrôle vétérinaire. C’est pourquoi il y a lieu d’en appeler à la vigilance des consommateurs. Car le risque de piquer une maladie, dans ces conditions, est grand.

Valérie TIANHOUN


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