BONJOUR


Parlons-en ! Les conditions dans lesquelles les bouchers de la ville de Ouagadougou transportent la viande, laissent à désirer. Parfois, c’est en tricycle, à moto ou à vélo qu’on les voit convoyer la viande de l’abattoir aux différents points de vente. Avec cette période d’harmattan faite de poussière et de brume, il y a lieu de respecter un minimum d’hygiène pour ne pas exposer les consommateurs à des risques de maladies. Ce n’est pas trop demander !

Antoine BATTIONO 


No Comments

Leave A Comment