BONJOUR


La consommation de boissons frelatées est une réalité au Burkina Faso. En effet, hommes, femmes, jeunes, vieux ou vieilles, nombreux sont ceux-là qui s’adonnent à cette pratique pour le moins nuisible. Si fait que d’année en année, le taux de mortalité y lié prend des proportions inquiétantes. N’y a-t-il pas lieu   que l’autorité, à défaut d’interdire la consommation de ces « drogues liquides », en encadre la commercialisation pour éviter la forme de destruction humaine massive à laquelle l’on assiste ?

Boundi OUOBA 


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