BONJOUR


Sur les abords de certaines voies de Ouagadougou, l’on remarque souvent des femmes qui vendent de la nourriture. Et c’est un phénomène qui prend de l’ampleur. On se demande si ces vendeuses respectent toujours les conditions d’hygiène dans leurs activités commerciales, dans un contexte où la maladie à virus Ebola fait peur. Parfois, les lieux dans lesquels ces dernières vendent la nourriture sont très sales. Pire, les repas sont même parfois couverts de poussière et de mouches. Le mieux serait que les services d’hygiène essaient de contrôler et de sensibiliser davantage les vendeuses pour la qualité de ce qu’elles commercialisent afin de préserver la santé des populations.

Valérie TIANHOUN


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