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  Petit à petit, l’harmattan ou « l’hiver burkinabè », est en train de s’installer avec son lot de poussière et de maladies respiratoires. C’est le lieu d’attirer l’attention des uns et des autres sur la nécessité de

  L’instauration de parkings dans les établissements scolaires publics, s’avère nécessaire. Car, très souvent, par endroits, on voit vélos et motos entreposés pêle-mêle sous des arbres ou sous le soleil. Toute chose qui empêche les élèves

Parlons-en ! Les conditions dans lesquelles les bouchers de la ville de Ouagadougou transportent la viande, laissent à désirer. Parfois, c’est en tricycle, à moto ou à vélo qu’on les voit convoyer la viande de l’abattoir

Les fumeurs, parlons-en ! Il y en a parmi eux dont le comportement laisse à désirer. Il s’agit de ceux-là qui prennent du plaisir à envoyer des tout-petits payer ou allumer la cigarette pour eux. Une

C’est connu de tous ! La saison des pastèques rime avec période de poussière chez nous, au Burkina. Et c’est peu dire ! C’est le lieu donc d’en appeler à la responsabilité des uns et des autres

On a l’impression que la plupart des Burkinabè ne rationnalisent pas leurs dépenses. Car, très souvent, dans des maquis et autres gargotes, on en voit en train de payer tel ou tel article à coup

A petits pas, nous nous acheminons vers la fin de l’année 2018. Et comme toutes les autres fins d’année, on assiste à une recrudescence des vols à main armée et braquages tous azimuts aussi bien

Dans bien des entreprises de la place, l’esprit d’appartenance à l’entreprise, a foutu le camp, les querelles pichrocolines ayant pris le pas sur l’esprit du travail. Si fait que le matin, certains travailleurs n’ont pas

  Petit à petit, l’harmattan ou « l’hiver burkinabè », est en train de s’installer avec son lot de poussière et de maladies respiratoires. C’est le lieu d’attirer l’attention des uns et des autres sur la nécessité de

    Le Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO), c’est peu de le dire, a drainé du monde. Beaucoup, Burkinabè comme étrangers, n’ont pas voulu se faire conter l’événement. Seulement voilà ! Certains en gardent un mauvais

Dans les alentours du lycée Marien N’Gouabi, se trouvent des tas d’immondices qui dégagent une odeur pestilentielle qui, à n’en point douter, indispose élèves  et enseignants, et ce, tous les jours que Dieu fait. Et

S'il y'a une pratique qui n'honore pas le citoyen burkinabè, c'est bel et bien ceux qui refusent pendant la descente du drapeau national de s'arrêter. Dans la soirée du dimanche 28 Octobre dernier, alors qu'il