HomeBonjour (Page 124)

Le phénomène est récurrent et ce, malgré les campagnes de sensibilisation et autres actions. De quoi s’agit-il ? Il s’agit des surcharges que font les gros camions et que l’on constate à longueur de journée sur

Dans la ville de Ouagadougou, avoir un mécanicien aux environs de 6h du matin pour se dépanner n’est pas chose aisée. En tout cas, il faut prier Dieu pour que votre moto ne tombe pas

Ils sont nombreux, en ville comme en campagne, qui, durant cette période, font le commerce des mangues. Ce qui n’est pas  mauvais. Seulement, certaines mangues sont de qualité douteuse. Achetées encore vertes pour être conservées

Dans certains services publics, l’on peut lire souvent : « Monsieur  X ne reçoit pas pendant les heures de service ». Si ces travailleurs peuvent avoir de bonnes raisons de déroger aux règles qui fixent les heures légales

S’il y a un fait qui agace bien des abonnés de Cash power, c’est bien les longues files d’attente pour l’achat des unités. Très souvent, pour ne pas dire presque tous les jours, c’est le

Dans certains maquis ou bars de la place, la consigne est claire. On ne vous sert pas la boisson si vous ne donnez pas l’argent. Cela n’a rien de mauvais en soi. Mais le hic, c’est

Un camion a fait un accident sur la route de Pô. C’était au cours du week-end dernier. Mais ce qui a retenu le plus l’attention des observateurs, c’est beaucoup moins l’événementiel, c’est-à-dire l’accident en lui-même,

Afin de rattraper le retard engendré par la grave crise qui avait secoué le monde éducatif, le ministère de l’Education nationale a réaménagé le calendrier scolaire. Si fait que les congés du second trimestre ont

A Ouagadougou, les maquis et bars rivalisent. Le hic est que le voisinage est souvent victime des conséquences de cette concurrence parce qu’elle l’expose à des nuisances sonores. Or, les textes en la matière veulent

Certains marchands ambulants vendent des objet qui font peur et peuvent même inciter à la violence. C’est le cas des armes blanches. En effet, il est très fréquent de voir des jeunes tenir des gourdins,

Pour la troisième fois, Ouagadougou, la capitale burkinabè, a été frappée par des terroristes que d’aucuns appellent à tort des djihadistes. Mais à chaque attaque, le constat est le même. De nombreux citoyens, par curiosité

Le vendredi dernier, dès l’annonce des attentats contre l’ambassade de France et l’état-major général des armées, c’était le branle-bas à Ouagadougou. Chacun tentait de sauver sa peau si fait que cela a créé de monstres