Le président congolais, Joseph Kabila, est allé jusqu’au bout de sa logique. C’est le moins que l’on puisse dire. Car, après deux semaines d’auditions parfois longues et harassantes, Moïse Katumbi, candidat déclaré à la prochaine
Son sort est scellé. Les mânes de ses ancêtres congolais qu’il aura certainement invoqués secrètement depuis la prison de La Haye, n’y auront rien pu. Hier, ce mercredi noir du 18 mai 2016, sous l’effet
L’Accord d’Alger censé réconcilier les frères ennemis maliens, vient de souffler sa première bougie. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la tension est quelque peu retombée sur le terrain. Car, on n’assiste plus
Depuis trois mois, le torchon brûle entre le Sénégal et la Gambie. En cause, la fermeture des frontières entre les deux pays, suite à la décision unilatérale de l’excentrique et lunatique président Yahya Jammeh, d’augmenter
Le président de la RDC, Joseph Kabila, peut désormais se frotter les mains. Et pour cause, son ambition non dissimulée de demeurer au pouvoir au-delà des délais constitutionnels, vient d’être assouvie par la Cour constitutionnelle
La grande farce ! C’est le moins que l’on puise dire de la cérémonie d’investiture du président ougandais, Yoweri Museveni, qui a eu lieu, hier, 12 mai 2016. «Moi, Yoweri Katuga Museveni, je jure au nom
Le président congolais, Joseph Kabila, pourra rester au pouvoir à la fin de son mandat en cours si la présidentielle censée se tenir cette année 2016, n’a pas lieu. Ainsi en a décidé la Cour
Au Mali, le week-end du 08 mai a été marqué par une nouvelle arrestation, cette fois-ci près de Bamako, d’un chef djihadiste présumé, Yacouba Touré, qui passe pour être le numéro deux du groupe Ansar
Moïse Katumbi, le désormais candidat à la présidentielle congolaise, qui donne des insomnies au président Joseph Kabila, a répondu, hier, 9 mai, à la convocation du procureur général de Lubumbashi. C’était dans une ambiance des
Le 7 mai dernier, l’opposition mauritanienne a battu le macadam pour dire non à toute modification de la Constitution. Cela fait suite à la volonté affichée du pouvoir de supprimer le sénat au motif qu’il
Contrairement à ce qui était annoncé, Moïse Katumbi ne participera pas, ce 4 mai 2016, aux obsèques nationales de Papa Wemba à Kinshasa. Motif invoqué : les autorités n'ont pas accordé, jusqu’au moment où nous mettions
"Rassemblement, héritage et modernité" ! C’est le nom de baptême du parti que les transfuges du Parti démocratique gabonais (PDG) viennent de porter sur les fonts baptismaux, à Libreville, au Gabon. C’était le 1er mai 2016,