HomeLa nouvelle du vendredi (Page 2)

C’était un après-midi de jeudi. Il était 16h. Sur une grande avenue dans un quartier du pays des hommes intègres, je me suis arrêté par le plus grand des hasards devant une boutique pour recharger

  Il y a quelques jours, assis un après-midi chez mon ami Rasta au bord de la voie, je lisais le journal. Deux étudiantes en art et communication pour leur devoir du jour me sollicitèrent. - Monsieur,

  J’ai toujours une boule dans l’estomac lorsque je dois établir un papier administratif au Faso. D’abord, on ne sait jamais quel sera le parcours avant d’avoir une satisfaction Ensuite, on ne sait à quelle sauce

Lorsque je rends souvent visite  à mon cousin Mohamed dans sa boutique, je discute amicalement avec Yacouba le mécanicien, juste à droite de la boutique de mon parent. Un manguier sert  d’atelier à Yacouba. L’homme

Lorsque je rends souvent visite à mon cousin Mohamed dans sa boutique, je discute amicalement avec Yacouba le mécanicien, juste à droite de la boutique de mon parent. Un manguier sert d’atelier à Yacouba. L’homme

  Il y a quelques années, invité à un festival, je visitais une bibliothèque à Sikasso au Mali où quelques-uns de mes ouvrages étaient lus. Je feuilletais un document sur la symbolique des cheveux dans l’Égypte

  « Ils se marièrent devant Dieu et devant les hommes. Ensuite, ils s’aimèrent et eurent beaucoup d’enfants ». Cette chanson est hélas maintenant une actualité d’hier. De nos jours, dans notre quotidien, il est de mode et d’habitude

  Jadis dans l’Afrique traditionnelle de nos aïeux, les détenteurs de pouvoir et d’autorité sous serment dans la case sacrée se forgeaient une conduite à tenir irréprochable, au  risque de tomber sous la sanction des ancêtres. Considérés

Ce jour-là, j’ai reçu dans ma modeste librairie un jeune cadre du continent. Costume de bonne coupe, attache case et souliers vernis, l’homme de tous ses pores dégageait le luxe, l’aisance            et  la culture. Pour

   Au pays des Hommes intègres dans les années 1980, j’étais gamin. Dans la patrie mère du cinéma africain, aller au ciné Rialé ou au ciné Oubri au centre de la ville de Ouagadougou  pour voir

A chaque marmite son couvercle. Ainsi disait le sage de la grande savane de Dunia. Il y’a quelques jours au Faso, j’allai dans le bureau d’une administration publique pour me faire signer un papier d’urgence. 

- Tu sais ma fille, il faut enfin te décider et t’engager. Tous les hommes sont pareils. Choisis un dans le lot et tu feras avec… C’est par ces sages conseils qu’une mère au bord du