HomeA la uneCOUP D’ETAT AU BURKINA FASO: L’UNDD-CI pour une libération de Hermann Yaméogo

COUP D’ETAT AU BURKINA FASO: L’UNDD-CI pour une libération de Hermann Yaméogo


Dans la présente déclaration, l’Union nationale pour la démocratie et le développement section Côte d’Ivoire (UNDD-CI), exige des autorités de la Transition au Burkina Faso, la libération de Me Hermann Yaméogo soupçonné d’être impliqué dans le coup d’Etat manqué du 16 septembre 2015.

Le lundi 5 octobre, le président de l’UNDD en la personne de Me Hermann Yaméogo a été arrêté à sa résidence à Ouaga 2000. Le motif avancé est qu’il serait mêlé au récent coup d’Etat au Faso. Le Bureau exécutif de l’UNDD-CI s’est réuni ce mardi 6 octobre pour analyser la situation et donner de la voix.

L’UNDD, fidèle à sa vocation d’apôtre de la démocratie, de la légalité et de l’alternance pacifique, a défendu au grand jour la légalité du référendum, qui n’est pas la modification illicite de l’article 37. Notre position fit de nous des victimes indiquées. Les conséquences de notre position que nous n’allons jamais renier, ont pour lieu de lecture la destruction des résidences du président de notre parti et de son arrestation non motivée.

L’UNDD-CI demande aux tenants actuels du pouvoir au Faso de libérer son leader sans condition aux fins de préserver la paix sociale. Nous le savons, la Transition fait la chasse aux sorcières et est engagée dans une logique de règlements de compte. De telles attitudes ne nous feront point renier nos convictions et notre droit à la liberté de l’expression politique et démocratique.

Notre parti ne se reconnaît ni de prés ni de loin mêlé à ce coup d’Etat que nous qualifions de théâtre politique aux fins de tisser le tapis rouge aux financiers des événements des 30 et 31 octobre 2014, sinon comment comprendre sa légèreté dont nous sommes tous témoins ?

Nous prenons à témoin l’opinion de cette politique aux relents répressifs et oppressifs de la Transition partisane dirigée par Kafando et dont le maître d’oeuvre s’appelle Zida. Nous ne saurions rester passifs face à cette politique d’apartheid. C’est pourquoi, nous crions : libérez Hermann Yaméogo ici et maintenant.

Du reste, nous demandons aux militants et aux Burkinabè de l’étranger de rester à l’écoute de notre mot d’ordre. Paix au Faso !

Fait à Abidjan, le 6 octobre 2015

Dominique GNISSI, SG UNDD-CI


Comments
  • ils ont tué les jeunes pendant leur pustch pour preserver la paix sociale j’espere?

    7 octobre 2015
  • Oufffffff……bande de plaisantins,le peuple burkinabè attend votre mot d’ordre.En tout cas cette fois-ci c’est le grand terminus pour votre grand looser clochard hermann yaméogo.Qu’il crève en prison.

    7 octobre 2015
  • des fanfarons. qu’ils viennent donc le dire ici au lieu de rester à 1100 kms pour parler woba woba. votre leader esr fini.

    7 octobre 2015
    • OUI VOUS AVEZ TOUS PERDU.IL NA PAS QU’IL EST BANDIT CHEF. LAISSEZ LE IL VA POUVOIR ON VA VOIR.LE TRAITE HERMANN QUI VENDU OPSONISATION EN 1991 LE MÊME ÉHONTÉ A LA FAVEUR D UNE RIDICULE RÉFÉRENDUM VOULAIT ENCORE VENDRE LA NATION .PAUVRE BANDIT CHEF

      7 octobre 2015
  • CEUX QUI ONT ECRIT CETTE DECLARATION NE SONT PAS DES BURKINABE MAIS DES IGNOBLES . BANDE DE RACAILLES. VOUS NE PLEUREZ MEME PAS LES MORTS DES ENFANTS , JEUNES , VIEUX, HOMMES, FEMMES ( CERTAINES ENCEINTES MEME) FAUCHES PAR LES BALLES ASSASSINES DE CE TERRORISTE DIENDERE ET COMPAGNIE. VOUS ETES MAUDITS… TCHUURRRRR !!! KAIIIIIIIIII… ALLEZ EN ENFER…

    7 octobre 2015
  • Commentaire..cè bien vive Herman

    11 septembre 2016

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