HomeBaromètreLETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DU FASO:« Soyez vigilant et ne vous laissez pas berner »

LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DU FASO:« Soyez vigilant et ne vous laissez pas berner »


L’auteur de la présente lettre ouverte adressé au président du Faso lui demande de se surpasser en prenant la bonne décision face à la situation actuelle.

 

Je viens à vous par ce courrier, comme je l’ai fait loin dans le passé (1984 1985) à chaque fois que j’ai voulu m’adresser à vous.

La différence aujourd’hui, est qu’il se fait en lettre ouverte, seulement pour être sûr (e) qu’il vous parviendra, et que vous le lirez.

Peut être vous rappellerez-vous ces paroles comme « Faites attention car tous ces gens autour de vous, nombreux sont vos ennemis » ou « Je n’ai rien pour vous donner si ce n’est que mes prières qui pourront vous aider et vous soutenir dans votre lourde tâche » ou encore, « Aidez les d’une manière qui plaise à Dieu, car celui qui fait le bien appartient à Dieu ; qui commet le mal n’a pas vu Dieu ».

Voici que je m’adresse à vous encore aujourd’hui, et je souhaite que vous puissiez lire entre ces lignes, et percevoir le message qui vous est donné en ce jour.

En ami(e), je vous tiens la main, et je vous encourage à prendre une décision juste pour votre pays. Retrouvez-vous, cherchez-vous au fond de vous-même, et trouvez-vous; alors, vous écouterez la voix de votre cœur. Allez puiser au fond de vous, cette sagesse nécessaire dont vous avez besoin, car vous n’avez plus droit à l’erreur. Soyez vigilant, et ne vous laissez pas berner. Votre responsabilité est plus que jamais grande.

Œuvrez pour l’intérêt supérieur de votre pays, et vous verrez que celui qui voit jusqu’au fond du cœur des hommes vous le revaudra.

J’aime ce pays, et je ne voudrai pas le voir basculer dans la violence. Son intérêt suprême doit être préservé. Si vous prenez la bonne décision, je me révèlerai à vous. Si vous prenez la mauvaise décision, je me détournerai de vous. Alors, voici ma prière :

Que Dieu vous accorde de prendre des décisions avec bon sens, et d’avoir des pensées dignes qui vous transcendent des querelles et des intérêts partisans.

Qu’il vous donne une connaissance exacte de la réalité.

Qu’il vous éclaire, afin que vous ayez la révélation de ce qui est juste, et ne voir que l’intérêt suprême de cette nation. Qu’il vous guide pour que vous agissiez de façon raisonnable, et vous garde de l’erreur.

Portez-vous bien cher ami, et si quelque part dans cette lettre je vous ai offensé, pardonnez-moi.

Salut, et que la sagesse soit avec vous.

ADMASSAPDIS


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