BONJOUR
A Ouagadougou, comme dans la plupart des centres urbains à travers le pays, on fait le constat qu’il y a beaucoup de caniveaux non couverts. Ce qui n’est pas sans conséquences, surtout quand on sait que certains caniveaux passent devant des cours habitées. Voyez-vous ? Les risques sont énormes, surtout par ces temps de pluies où l’on peut très facilement se retrouver dans les profondeurs d’une rigole. Les autorités municipales sont interpellées.
Didèdowa Franck ZINGUE