BONJOUR

Les objets de seconde main, bien des Burkinabè en raffolent. Ce qui n’a rien de mauvais puisque parfois, on y trouve des objets de bonne qualité, qui résistent bien au temps. Seulement, dans ce contexte de banditisme où l’on ne sait pas qui est qui, il est recommandé de relever tant que possible, les références identitaires de celui qui vous a vendu tel ou tel objet. Cela pourrait vous mettre à l’abri de certaines surprises désagréables. Car faut-il le rappeler, certains objets vendus en seconde main, ont été volés.

 

Boundi OUOBA