BONJOUR
L’affaire des canettes périmées de OBOUF, d’huile frelatée fabriquée à la périphérie de Ouagadougou et de poissons avariés découverts il y a quelque temps, a amené les populations burkinabè à être plus regardantes sur ce qu’elles consomment. Une vigilance qui a permis donc à un consommateur de faire un constat sur un des produits chinois. En effet, après avoir payé des biscuits pour son enfant, il ne pouvait être situé sur la date de péremption puisque sur l’emballage tout est écrit en chinois. Ne sachant pas lire le chinois et ne pouvant pas savoir si les biscuits en question sont périmés ou pas, il a tout simplement éviter de les donner à son enfant de peur de l’exposer à une éventuelle intoxication. Tout comme ces biscuits, beaucoup de produits connaissent le même problème puisque tout y est écrit dans des langues autres que le français. Si fait que si l’on y prend garde, on peut consommer des produits déjà périmés. Les populations sont donc invitées à la vigilance. Que faire ? La Ligue des consommateurs ainsi que les autorités sanitaires sont interpellées.
Yannick SANKARA