BONJOUR
L’érection des ralentisseurs ou « dos d’âne », parlons-en ! La pratique a tellement pignon sur rue dans notre pays que les uns et les autres s’y adonnent à cœur-joie et ce, même dans les « six-mètres » des quartier. Le problème, c’est que généralement, il n’y a pas de balise si bien que ces ralentisseurs, censés prévenir, deviennent souvent sources de dangers ; tant ils sont à l’origine de certains accidents de la circulation. L’autorité municipale est interpellée. Il faudra, s’il y a lieu, procéder à la démolition de la plupart des ralentisseurs sauvages que l’on rencontre dans bien des quartiers de la ville de Ouagadougou.
Anyi YELE