BONJOUR
A Ouagadougou, il n’est pas rare de voir des espaces verts ou terrains vides situés en plein cœur de la ville, transformés en poubelles ou en dépotoirs à ciel ouvert. Conséquence : il s’y dégage de fortes odeurs nauséabondes et pestilentielles qui indisposent les populations riveraines qui, elles-mêmes, ne sont pas à plaindre ; tant elles contribuent à polluer leur propre cadre de vie. C’est le lieu d’appeler les uns et les autres à plus de responsabilité individuelle et collective. Car, l’assainissement de notre cadre de vie, nous incombe au premier chef.
Fidèle KONSIAMBO