BONJOUR


Dans les zones péri-urbaines de Ouagadougou, on note la présence de cours abandonnées devenues de véritables repaires pour bandits. Ces derniers s’en servent comme bases arrières, d’où ils partent pour  commettre leurs basses besognes, la nuit tombée. Et comme pour ne rien arranger, certains se permettent de pratiquer la culture  des plantes en hauteur, jouant ainsi le jeu de ces malfrats qui n’en demandent pas plus. Voyez-vous ? Il faut que les uns et les autres sachent raison garder en travaillant à faciliter la tâche aux forces de sécurité intérieures qui veillent au grain pour assurer notre sécurité.

 

Didédoua Franck ZINGUE


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