BONJOUR
Les Burkinabè n’ont pas la culture de la déclaration de perte. C’est le moins que l’on puisse dire. En effet, ils sont nombreux les citoyens qui ne se donnent pas la peine de faire une déclaration de perte lorsqu’ils égarent un objet de valeur. Pourtant, c’est une démarche administrative qui a toute son importance, d’autant plus qu’elle permet généralement à la gendarmerie et à la police nationales de contacter facilement les propriétaires des objets volés ou égarés, une fois qu’elles les retrouvent entre les mains d’une tierce personne. En tout cas, chaque citoyen est interpellé sur la question.
Mamouda TANKOANO