BONJOUR
Le riz fait partie des aliments les plus consommés dans la capitale burkinabè pour ne pas dire dans le pays. Profitant de cet état de fait, certains commerçants n’hésitent pas à vendre du riz avarié aux consommateurs. C’est ainsi qu’après l’achat, certains découvrent que la qualité du riz qu’on leur a vendu, laisse à désirer. Si certains commerçants acceptent d’échanger le sac ou restituent l’argent, ce n’est pas le cas pour d’autres qui refusent de le faire, prétextant qu’eux aussi ont acheté le riz ainsi. C’est dire que la vigilance doit être de mise car la consommation du riz avarié peut provoquer certaines maladies. L’autorité est donc interpellée afin de renforcer le contrôle de la qualité des denrées qu’on vend aux populations. Il y va de la santé de tous.
Rahmatou SANON