BONJOUR


Actuellement, c’est la période des mangues. Des fruits très prisés par les Burkinabè, mais dont la conservation, il faut le reconnaître, est pour le moins difficile. Malheureusement, on voit des gens qui préfèrent les laisser pourrir que d’accepter de casser les prix aux fins de les écouler facilement. Toute chose qui n’est ni plus ni moins qu’une mauvaise stratégie de marketing qui, in fine, n’arrange ni le vendeur ni le client.

 

Véronique ONADJA

(Stagiaire)


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