BONJOUR
Depuis hier 1er octobre, les élèves ont repris le chemin de l’école. C’est une période très contraignante pour certains parents qui doivent satisfaire à la corvée du transport des enfants, c’est-à-dire aller déposer puis revenir chercher leurs enfants à la descente. Très souvent, c’est la croix et la bannière devant ces établissements qui ne disposent même pas du minimum d’espace pour garer sa moto ou son véhicule. Conséquence : on assiste à un véritable encombrement dans les écoles, une obstruction de la voie, par moments, surtout pour les écoles faisant face à une grande voie. Sans oublier qu’un accident peut vite arriver surtout que certains Burkinabè ne sont pas tolérants en matière de circulation. C’est l’occasion donc d’interpeller les écoles à prendre des dispositions afin d’éviter les embouteillages monstres que l’on constate aux heures de pointe.
Colette DRABO