BONJOUR


Décidément, certains Burkinabè, ou du moins, c’est l’impression qu’ils en donnent, pensent que les réseaux sociaux constituent une zone de non-droit. Tant et si bien qu’ils se croient tout permis. En effet, ils passent le temps à insulter, blasphémer ou diffamer, oubliant qu’ils s’exposent à des risques de poursuites judiciaires. Certes, il y en a eu qui ont été déjà jugés et condamnés mais on fait le constat que cela ne semble pas avoir servi de leçon puisqu’il y en a aussi qui continuent d’en faire à leur tête. C’est le lieu pour nous de rappeler une fois de plus que « la liberté des uns s’arrête toujours là où commence celle des autres ».

 

Boundi OUOBA

 


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