BONJOUR


Parti pour légaliser une vingtaine de documents dans un commissariat de police, à Bobo-Dioulasso, un homme s’est entendu dire qu’il n’y a pas d’encre. On lui demande alors d’aller en payer s’il souhaite être servi. Chose qu’il fit, oubliant qu’il n’était pas au bout de ses peines. Puisqu’au retour, aucun policier n’a accepté de prendre l’encre en question. Mais on est où là, est-on tenté de s’interroger ? Car, c’est la première fois, de mémoire de Burkinabè, qu’un usager vit pareille mésaventure pour une légalisation dans un commissariat de police.

Fidèle KONSIAMBO


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