BONJOUR


Dans les zones à forts défis sécuritaires, les populations vivent un véritable calvaire. En effet, la plupart des ambulances de ces zones rouges, ont été retirées par les groupes armés si bien qu’en cas d’urgence médicale, les patients se débrouillent avec les moyens du bord, en l’occurrence les motos. Mais là aussi, il y a problème puisqu’on n’y trouve plus du carburant en vente. Conséquence : certains patients finissent par rendre l’âme, faute de moyen de locomotion. C’est la preuve, s’il en est, que «  tout est urgent dans ce pays ».

 

Aniyi YELE

 

 


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