BONJOUR :
Pourra-t-on assister un jour à la fin de l’incivisme dans la circulation ? Cette question, bien des citoyens de Ouaga se la posent, tant cet incivisme a atteint des proportions inquiétantes. Intolérance en circulation, non-respect des feux tricolores, surcharges de marchandises, communication en circulation, excès de vitesse sont, entre autres, des comportements que l’on constate au quotidien dans la circulation. Et ce n’est pas tout. En effet, il y a le cas de ces usagers de la route qui, en pleine circulation, crachent ou jettent leurs mégots de cigarette, si fait que lorsque vous les suivez immédiatement, vous recevez des gouttes de crachat ou de la cendre en plein visage. Toute chose qui peut vous faire perdre l’équilibre et un accident est vite arrivé. Tous ceux qui se comportent ainsi doivent revoir leur copie. Pourquoi ne pas s’arrêter juste pour quelques secondes, le temps de cracher ou de jeter son mégot ou à la limite, s’assurer que personne n’est juste dernière soi. Alors, prudence et respectons les règles élémentaires en matière de circulation routière. En tout cas, il y va de l’intérêt de tous.
Colette DRABO
Touba
/
Chaque pays a les citoyens qu’il mérite. Ce qui se passe dans notre circulation est l’image parfaite de ce qui ce passe dans nos bureau, nos foyer et partout où nous sommes. Les irrespectueux des règles dans la circulation sont ceux qui trafiquent les règles de passation des marchés, qui trafiquent les marchandises, qui corrompent à tout moment, qui travaillent peu et cherchent les raccourcies pour s’enrichir, qui ne respectent personne à la maison. Je ne connait aucune peuple qui s’est développe dans le désordre. Notre développement passe nécessairement par le changement de ce vilain comportement que nous avons et qui est visible à l’écran de notre circulation.
7 août 2015rabo
/
depuis la fin de la révolution, les responsables politiques ont laissé faire, pour pouvoir agir comme eux aussi ils voulaient.
8 août 2015d’où la pagaille depuis des années. vous voulez augmenter les amendes, vous faites fausse route. prenons le temps de la réflexion, pas de la force, et invitons nos sociologues, nos chercheurs pluri dimensionnels pour rechercher les vrais solutions. vous avez habituez pendant trop longtemps les burkinabè à ne croire en rien. le retour à la réalité sera dur!!!!!