BONJOUR  

 

Vu de l’extérieur, le bâtiment n’a rien à envier à certaines infrastructures publiques. Mais en pénétrant dans la cour, ce sont des herbes folles qui vous accueillent. Dès l’entrée principale du bâtiment en question, on constate la peinture du bâtiment qui s’écaille de part et d’autre. Et ce n’est que l’entrée en matière. A l’intérieur de l’infrastructure, le constat est désolant ; un plafond en passe de tomber sur la tête des occupants, des tapis de mur qui traînent à terre par endroits, des murs parsemés de moisissures. En sus de cela, une sonorisation faible. Nous sommes dans le bâtiment qui abrite la Cour de cassation et le Conseil d’Etat. Pour un bâtiment qui abrite des structures de cette envergure, il mérite plus que l’on s’occupe bien de lui, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur.

Françoise DEMBELE