BONJOUR
Malgré les efforts fournis par les ONG et autres associations œuvrant dans le social, le travail des mineurs sur les sites d’orpaillage persiste. En effet, des enfants, à peine sortis des jupons de leur mère, abandonnent familles et écoles pour se retrouver dans ces milieux où l’immoral le dispute à l’inhumain. Que faire finalement pour que ces enfants, fer de lance de la nation de demain, intègrent leur famille et retrouvent le chemin de l’école ? La question reste posée. Tous les acteurs, l’Etat en premier, devraient redoubler davantage d’efforts. Le jeu en vaut la chandelle.
Adama SIGUE