BONJOUR


Bien des femmes, en ce mois de carême, s’improvisent vendeuses de galettes ou de bouillie et cela, pour accompagner les jeûneurs qui en raffolent le plus souvent quand vient l’heure de la rupture parce que, dit-on, ce sont des aliments de leste. Cela n’a rien de mauvais en soi. Toutefois, les conditions d’hygiène qui entourent ce commerce laissent parfois à désirer. Ce qui expose les consommateurs à d’énormes risques de maladies. Cela dit, il est de bon ton que les vendeuses de ces friandises observent les règles élémentaires d’hygiène. Car la santé de leurs clients en dépend.

Lonsani SANOGO


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