BONJOUR


Déjà que nos routes sont exiguës, il s’en trouve des gens pour faire de la course hippique et ce parfois même à des heures de pointe. Ce qui n’est pas sans conséquences dans une ville comme Ouagadougou où le taux d’accidents de la circulation est des plus élevés. C’est le lieu donc d’en appeler à la responsabilité des autorités municipales pour que soit mis un terme à de telles pratiques inciviques. Car un boulevard, pour autant que l’on sache, n’est pas un hippodrome et ne saurait le devenir.

Boundi OUOBA 


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