Au Sénégal, les esprits sont tournés vers les législatives du 17 novembre prochain, après la dissolution de l’Assemblée nationale par le président Bassirou Diomaye Faye, le 12 septembre dernier. Et cela, suite au blocage de
Dix milliards de francs CFA. C’est le montant décaissé par le gouvernement tchadien depuis la mi-février pour indemniser les victimes de l’ex-président Hissène Habré, après des années d’attente. En tout cas, à en croire des
Alors que l’emblématique procès des affaires de l’avion présidentiel et des équipements militaires était attendu pour s’ouvrir le 17 septembre dernier à Bamako, l’actualité sera bousculée dans la capitale malienne qui se réveillera sous des
Quatre jours après avoir annoncé au son de trompe qu’il ne briguerait pas un deuxième mandat après celui en cours qui échoie en 2025, le président bissau-guinéen, Umaro Sissoco Embalo, est revenu sur sa parole
Sale temps pour les sympathisants du parti islamistes ENNAHDHA en Tunisie. Alors que la présidentielle du 6 octobre prochain, avance à grands pas, le président tunisien Kais Saïed, multiple les arrestations de ses opposants et
On va vers des législatives anticipées au Sénégal âpres la dissolution de l'Assemblée nationale intervenue le 12 septembre 2024 . Et pour cause , cinq mois après son arrivée au pouvoir, le président, Bassirou Diomaye
Face à son isolement grandissant sur la scène internationale en raison de la guerre meurtrière qu’il mène contre le Hamas dans les territoires palestiniens, l’Etat hébreu tente de briser le cercle. C’est ainsi que pendant
La situation des droits de l’Homme dans le monde inquiète l’ONU dont le Conseil des droits de l’Homme (CDH) tient sa 57e session depuis le 9 septembre dernier à Genève en Suisse, sur des questions
Trois jours de deuil national à partir du 9 septembre 2024. C’est la décision prise par les autorités kényanes suite à l’incendie survenu dans la nuit du jeudi 5 au vendredi 6 septembre dernier dans
Le feuilleton politique au Sénégal dont le premier épisode s’est joué à travers le rejet du projet de révision constitutionnelle qui visait à supprimer deux institutions de la République jugées budgétivores, est loin de connaître
On croyait que le Sénégal s’était définitivement éloigné des échauffourées politiques qui ont précédé la fin du mandat de Macky Sall qui rêvait d’un bonus à la tête de l’Etat. Mais les évènements récents au
Au Sénégal, le parlement, réuni en séance plénière extraordinaire, a rejeté, le 2 septembre dernier, un projet de révision constitutionnelle porté par les nouvelles autorités. Le texte qui portait, entre autres, la suppression de deux