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Comment réussir dans la vie : Enseignement 7


Si vous voulez vraiment réussir dans la vie, vous devez non seulement prier tous les jours, mais également vous informer quant aux besoins  des gens, puis vous battre rigoureusement pour répondre à ces besoins. Pour ce faire, vous devez travailler à être capable de vous mettre à la place des autres de façon instantanée. Cela s’appelle en psychologie et en parapsychologie, l’empathie. L’égoïsme n’a donc pas sa place dans un système basé sur la réussite. C’est pourtant l’une des grandes faiblesses de l’Homme noir de façon générale. L’éducation en est indéniablement la principale cause.

 

Enseignement 8

 

«Dieu contrôle nos fonctions psychiques»

 

A ma première, après lecture de la théorie freudienne de l’inconscient, j’ai immédiatement décelé des incohérences et des insuffisances. Je savais donc que tôt ou tard, cette théorie pourtant révolutionnaire, allait rencontrer d’énormes difficultés. Et ce fût le cas en effet.

Pour imposer sa discipline, Sigmund Freud a énormément souffert. D’abord avec la dissidence de Carl Jung, ensuite avec Alfred Adler et plus tard avec les nouveaux courants de la psychologie moderne.

Pourtant, comme je l’ai intuitivement remarqué, il aurait suffi à Freud d’inverser son schéma de l’inconscient pour que le tour soit joué. Je crois que c’est son athéisme qui l’a perdu. Dans son schéma, il a placé le « ça » qu’il définit comme étant la partie la plus obscure et la plus impénétrable de notre personnalité, tout en bas de l’esprit humain. Selon moi, c’est sa plus grande erreur. En vérité, le « ça » est l’étincelle Divine, c’est-à-dire la part de Dieu en chacun de nous. Il devrait obligatoirement être en première position dans la schématisation de l’esprit humain. Ensuite, viennent le sur-moi qui représente les interdits parentaux, sociétaux et religieux et le « moi » qui désigne la partie de notre personnalité assurant les fonctions conscientes.

Selon Freud, le sur-moi est cette voix en nous qui dit « il ne faut pas », une sorte de loi morale qui agit sur nous sans comprendre son origine. Et c’est bien vrai. Pour lui, le sur-moi régule également les pulsions du «ça». Cette affirmation aurait été plausible si le «moi» Freudien n’était pas situé entre le sur-moi et le «ça». Mathématiquement, le sur-moi ne peut pas traverser le «moi» pour gérer des pulsions venant du «ça» d’où l’ambigüité de sa théorie. Il était donc obligé d’inclure le concept de la censure, les rêves, la libre association, etc. pour tenter de rationaliser, mais c’était peine perdue.

En vérité, je vous le dis, Dieu contrôle nos fonctions psychiques, donc il est tout en haut de notre fonctionnement psychique. Entre Dieu, le père et nous, il y a effectivement les éducations parentales, sociétales et religieuses qui sont là pour nous enseigner et nous guider. Seulement voilà, si ces éducations sont mal faites ou dévoyées, au lieu d’être un miroir, elles deviennent au contraire un véritable mur entre les intuitions, les prémonitions, les précognitions, les dons, etc., que nous envoie notre Créateur, et nous. A ce moment, si vous voulez vous en sortir, être très performant et jouir d’une profonde intelligence, d’une liberté absolue et d’une réussite divine, vous êtes obligé de percer, voire briser ce mur afin de profiter directement de tous les délices envoyés par Dieu lui-même. Freud n’aurait pas été un athée qu’il aurait certainement eu cette luminosité géniale et indéboulonnable. Heureusement, Cecrabiens et Cecrabiennes, Dieu m’a permis de le découvrir. Cette terrible et géniale découverte tonnera dans le monde entier pour l’éternité. Et gare aux plagiaires ! Dieu veille !

 

Enseignement 9

 

L’une des plus grandes faiblesses de la théorie freudienne vient du fait que Sigmund Freud était athée. Son athéisme, c’est-à-dire son incroyance en l’existence de Dieu et de Satan, ne lui a pas permis de découvrir l’existence d’un second sur-moi, en l’occurrence le sur-moi mystique.

En vérité, je vous le dis, il existe deux types de sur-moi. Il y a le sur-moi physique composé d’éducations parentales, sociétales, religieuses parfois opaques, pathologiques ou mal faites et le sur-moi mystique composé d’attaques mystiques, de malédictions, de pratiques occultes, etc.

Un timide, un complexé, un angoissé ou encore un déprimé, etc., a forcément un sur-moi physique déficient ou pathologique. Il lui suffira tout simplement de réduire un tant soit peu par l’électrification de la pensée par exemple, les émanations de ce sur-moi dévastateur pour que la paix du cœur, le bonheur, la confiance en soi et même une foi authentique, s’installent en lui naturellement et profondément.

En ce qui concerne le sur-moi mystique, seule la purification des corps subtils permet de le réduire à néant.

L’analyse onomantique, quant à elle, permet de cibler avec perfection le ou les sur-moi déficients, d’une part, et de préconiser le traitement approprié, d’autre part.

 

Roch Armel BAKYONO

Economiste

Parapsychologue-expert

Directeur du cabinet CECRAB

Bur : (+226) 51 00 50 50 ou (+226) 25 47 92 32


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