* Commune de Ouagadougou : : l’ex-maire, Marin Casimir Ilboudo, en garde à vue
L’ex-maire de la commune de Ouagadougou, Casimir Marin Ilboudo, a été interpellé et placé en garde à vue par la brigade-ville de gendarmerie de Boulmiougou. Cela fait suite à une enquête sur des malversations financières dans les attributions de parcelles dans la ville de Ouagadougou. En effet, Marin Casimir Ilboudo est suspecté d’être impliqué dans la vente d’un terrain et magasin, ex-dépôt OFNACER de Larlé, à une compagnie de transport de la place. L’enquête suit son cours pour mieux situer les responsabilités.
Gérard Manvu
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Et celui qui a réfectionné l’hôtel de ville à plus d’un milliard ? Qui a célébré ses milliards ? Qu’en fait-on ?
25 juin 2015le Fils du Pays Réel
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Chers messieurs de la transition, de grâce, si vous n’avez vraiment rien à faire, rendez le tablier et foutez-nous la paix. Vous nous infantilisez en vous ridiculisant. Est-ce parce que quelqu’un a été maire qu’il a organisé un trafic de parcelles? Est-ce parce que quelqu’un a rendu un fier service à son prochain qui lui témoigne sa reconnaissance, qu’il est corrompu? Pendant qu’on y est, beaucoup de rapports sommeillent dans les tiroirs de l’ASCE, de la CC qui incriminaient d’anciens-nouveaux dignitaires qui n’ont jamais été inquiétés. Votre mission est de mettre en oeuvre, les dispositions en vue de l’organisation d’élections crédibles. Ne dispersez pas inutilement vos forces pour après nous demander une quelconque rallonge pour terminer vos chantiers (lol). Vous savez bien qu’ici, au Burkina, il n’y a pas de rallonge, il n’y a que des ciseaux.
25 juin 2015Dieu bénisse le Burkina Faso
Motifs d'interpellations
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En Mai 2015, trois personnalités ont été interpellées quasiment au même moment par la gendarmerie : Juliette Bonkoungou, Simon Compaoré, Seydou Zagré. Pour Juliette, elle avait été entendue sur des activités du CDP susceptibles de constituer un trouble à l’ordre public. Pour les 2 autres, il s’agissait de questions liées à la gestion de réserves administratives des mairies de Ouagadougou et Koudougou. Les 3 personnalités après auditions ont été relaxées .Il ressort qu’il a été demandé à Simon Compaoré s’il était au courant de la vente d’une réserve administrative quand il était maire de la commune de Ouagadougou.Il a reconnu les faits et précisé que la vente a fait l’objet d’une délibération du conseil municipal. La réserve en question était plutôt devenue un bas-fond très dangereux pour la sécurité publique car, des cas de noyades y sont survenus en hivernage et cela mettait la population riveraine en colère contre la Mairie. Ne disposant pas de budgets adéquats pour la réhabilitation de cette réserve devenue un immense fossé mortel, le conseil municipal a opté de mettre en vente l’espace à des privés qui pourraient y investir à toute fin utile. C’est la raison pour laquelle cette réserve à problèmes a été vendue. Une cause juste et rationnelle et non pas une malversation foncière comme le pensaient à tort certains citoyens spécialistes de dénonciations calomnieuses.
25 juin 2015Faux débats
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Des gens visent des règlements de comptes personnels et subjectifs déguisés contre Simon Compaoré et c’est cela qui explique leur acharnement ciblé contre lui.
25 juin 2015Le fameux dossier dont ils font cas, est une affaire déjà traitée car, l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat(ASCE) a juste signalé quelques irrégularités de forme dans la passation du marché public pour la réhabilitation de la Mairie de Ouagadougou. Le président de la Cour des comptes à l’époque M.Pierre Nébié a fait savoir cela par voie de presse et que des recommandations ont été faites pour le respect strict à l’avenir des normes de passation et de gestion des marchés publics. C’est depuis lors que le système des marchés publics a été mieux organisé selon des normes que tous les services publics s’attèlent à suivre normalement. Donc, le cas de la Mairie de Ouagadougou n’est pas une affaire de fonds mais de forme, relative à la procédure administrative. La Cour des Comptes lors d’une conférence de presse le 28 janvier 2009 pour la présentation de ses rapports 2006 et 2007 a noté avec satisfaction que la Mairie de Ouagadougou a bien pris en compte ses recommandations pour une meilleure organisation de son système de passation des marchés publics. D’une manière générale, les gens ont une bonne appréciation de la gestion de la Mairie de Ouagadougou au plan national et international par le dynamisme de Simon Compaoré.
Motifs d'interpellations(bonne version)
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En Mai 2015, trois personnalités ont été interpellées quasiment au même moment par la gendarmerie : Juliette Bonkoungou, Simon Compaoré, Seydou Zagré. Pour Juliette, elle avait été entendue sur des activités du CDP susceptibles de constituer un trouble à l’ordre public. Pour les 2 autres, il s’agissait de questions liées à la gestion de réserves administratives des mairies de Ouagadougou et Koudougou. Les 3 personnalités après auditions ont été relaxées .Il ressort qu’il a été demandé à Simon Compaoré s’il était au courant d’une rumeur de vente d’une réserve administrative quand il était maire de la commune de Ouagadougou.Il a apporté des précisions sur les faits qui avaient été discutés par le conseil municipal. La réserve en question était plutôt devenue un bas-fond très dangereux pour la sécurité publique car, des cas de noyades y sont survenus en hivernage et cela mettait la population riveraine en colère contre la Mairie. Ne disposant pas de budgets adéquats pour la réhabilitation de cette réserve devenue un immense fossé mortel, le conseil municipal a opté pour l’éventualité d’une mise en vente de l’espace à des privés qui pourraient y investir à toute fin utile. Une cause juste et rationnelle et non pas une malversation foncière comme le pensaient à tort certains citoyens spécialistes de dénonciations calomnieuses. Donc, avis à d’éventuels acquéreurs pour de telles réserves dont la mise en valeur peut éviter des dangers pour la sécurité publique. Cette version des faits est la bonne et sert de rectificatifs.
25 juin 2015Motifs d'interpellations(bonne version)
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En Mai 2015, trois personnalités ont été interpellées quasiment au même moment par la gendarmerie : Juliette Bonkoungou, Simon Compaoré, Seydou Zagré. Pour Juliette, elle avait été entendue sur des activités du CDP susceptibles de constituer un trouble à l’ordre public. Pour les 2 autres, il s’agissait de questions liées à la gestion de réserves administratives des mairies de Ouagadougou et Koudougou. Les 3 personnalités après auditions ont été relaxées .Il ressort qu’il a été demandé à Simon Compaoré s’il était au courant d’une rumeur de vente d’une réserve administrative quand il était maire de la commune de Ouagadougou.Il a apporté des précisions sur les faits qui avaient été discutés par le conseil municipal. La réserve en question était plutôt devenue un bas-fond très dangereux pour la sécurité publique car, des cas de noyades y sont survenus en hivernage et cela mettait la population riveraine en colère contre la Mairie. Ne disposant pas de budgets adéquats pour la réhabilitation de cette réserve devenue un immense fossé mortel, le conseil municipal a opté pour l’éventualité d’une mise en vente de l’espace à des privés qui pourraient y investir à toute fin utile. Une cause juste et rationnelle et non pas une malversation foncière comme le pensaient à tort certains citoyens spécialistes de dénonciations calomnieuses. Donc, avis à d’éventuels acquéreurs pour de telles réserves dont la mise en valeur peut éviter des dangers pour la sécurité publique. Cette version des faits est la bonne et sert de rectificatifs.
25 juin 2015Audiences foraines
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L’ex-maire Simon Compaoré au regard des statuts particuliers des communes de Ouagadougou et Bobo-Dioulasso qui n’autorisaient pas l’implication des maires centraux dans les commissions de lotissements, était donc en marge des opérations foncières. Cependant, face aux scandales et plaintes récurrents relatifs aux parcelles, Simon Compaoré a diligenté en 2008, des audiences foraines dans les arrondissements de Ouagadougou pour que les citoyens expriment clairement leurs préoccupations et griefs sur les lotissements en vue de solutions. Des responsables de commissions d’attributions qui avaient commis des actes indélicats ont été dénoncés, arrêtés et sanctionnés. Par conséquent, Simon n’est pas concerné par les lotissements et autres gestions des réserves administratives. C’est une affaire de conseillers municipaux et des commissions d’attributions de parcelles en collision peut-être avec des commerçants véreux qui veulent acheter mille et une parcelles à Ouagadougou pour leurs intérêts personnels. Souvent, des actes délictueux de lotissements et ventes de parcelles étaient commis à l’insu même de certains maires d’arrondissements par les agissements frauduleux de certains conseillers municipaux. La meilleure solution, c’est d’informatiser les fichiers des parcelles à lotir sinon, les mêmes insuffisances et dérives perdureront dans la mesure où des gens visent les postes de conseillers municipaux essentiellement pour s’enrichir par la spéculation foncière.
26 juin 2015Auditions de Simon Compaoré (précisions)
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L’audition de Simon Compaoré par la gendarmerie par rapport à la gestion des réserves administratives de la commune repose sur des faits qui n’ont pas été exactement bien rapportés par des internautes. Il s’agit de la problématique des grands trous creusés dans plusieurs endroits de la commune par des citoyens à la recherche de terre et de briques. Ces espaces sont devenus très dangereux pour la sécurité publique car des enfants ont été blessés et noyés dans ces bas-fonds pendant la saison des pluies. Ne disposant pas de moyens colossaux pour boucher ces trous, le conseil municipal a examiné la situation et a opté de permettre à des citoyens ou services qui le désirent, la mise en valeur de ces fossés par leur fermeture selon des clauses à convenir avec les différents mairies d’arrondissements concernées. Il ne s’agit pas d’une mise en vente. Par conséquent, aucune réserve administrative n’a été vendue dans la commune de Ouagadougou. Après avoir fourni ces explications avec des détails concrets à la gendarmerie, Simon Compaoré a été autorisé par la gendarmerie à retourner chez lui. Ces trous géants constituent de véritables sites d’insécurité publique dans la commune de Ouagadougou où en plus des cas de risques d’accidents et de noyades, deviennent desrefuges de bandits. Que faire alors ?
26 juin 2015