«JOURNEE DU BURKINA FASO A PARIS » Lucien Marie Noël Bembamba à la conquête d’une soixantaine d’entreprises françaises
Le ministre burkinabè de l’Economie et des Finances, Lucien Marie Noël Bembamba, participe à la Journée du Burkina Faso à Paris, qui se déroule aujourd’hui, 5 juin 2014.
L’objectif principal de cette Journée est d’offrir au gouvernement burkinabè, une tribune pour mieux faire connaître l’économie du Burkina Faso, ses atouts, ses potentialités et les opportunités d’affaires à un auditoire composé d’une soixantaine de grandes entreprises françaises dont celles du CAC 40.
«Cette Journée est une opportunité pour notre pays. En effet, elle permettra de mieux faire comprendre également à l’auditoire, tout l’intérêt de réaliser un investissement commercial ou industriel dans notre pays, membre de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), où le marché commun est de plus en plus intégré et où le Burkina Faso, en raison de sa situation géographique (au centre de l’espace UEMOA) et de sa stabilité politique, joue un rôle de plus en plus croissant ». C’est du moins ce qu’a défendu le ministre burkinabè dans une communication orale en Conseil des ministres dont la date n’a pas été précisée.
Personnellement invité à cette Journée, Lucien Marie Noël Bembamba est accompagné de proches collaborateurs, d’un représentant du ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, d’un représentant de l’Agence pour la Promotion des investissements. Il s’agit notamment de Paul P. Nikiéma, Directeur Général des Impôts ; K. Sylvestre Sam, Directeur général des Douanes ; Hippolyte Dah, Directeur général de la Promotion de l’Entreprise, et de Inoussa Ouiminga, Directeur général de l’Economie et de la Planification.
Cette Journée est organisée à l’initiative du Medef (Mouvement des entreprises de France) International.
Le Medef est une organisation patronale fondée en 1998, représentant des dirigeants des entreprises françaises. Il remplace le Conseil national du patronat français (CNPF). Son but est de représenter les entrepreneurs français auprès de l’État et des organisations syndicales.
L’organisation revendique 750 000 entreprises adhérentes.
Par CBS