VERS L’ORGANISATION DU REFERENDUM : Le CDP promet de mobiliser le peuple
Dans la soirée du 21 octobre 2014, le Secrétariat exécutif national du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) a tenu une session extraordinaire au Conseil burkinabè des chargeurs (CBC) à Ouagadougou, dans le but d’informer les militants et la population entière de sa satisfaction de la décision du gouvernement relative au projet de loi portant modification de la Constitution en vue de la convocation du référendum. C’est le Secrétaire exécutif national (SEN), Assimi Kouanda, qui a livré le message à l’endroit de ses camarades militants.
« Nous sommes satisfaits de la décision que le gouvernement a prise, concernant le projet de loi portant organisation d’un référendum pour la modification de la Constitution. Dès lors, nous entamerons des processus de sensibilisation et de mobilisation à l’endroit du peuple, car la parole est maintenant à lui. C’est le lieu de saluer l’attachement à la vérité du parti ADF/RDA qui a estimé que le référentiel à la majorité, pour trancher la question de la révision de l’article 37, est le référendum ». C’est ce qu’a déclaré le Secrétaire exécutif national du CDP, Assimi Kouanda, lors de la session extraordinaire du parti, tenue le 21 octobre dernier à Ouagadougou. Vu l’ordre du jour qui était d’informer les uns et les autres, le SEN a déclaré que c’est parce que les efforts de dialogue ont échoué, malgré le sens de la patience et de la sagesse du président Compaoré, que le choix de la voie référendaire a été approuvé. « Il n’est pas question de parler de tripatouillage, car la modification de l’article 37 se fera par le peuple, à travers les urnes. Donc, nous ne ramenons pas des questions à des individus, mais à l’intérêt général. Nous devons nous lever pour lutter contre les chercheurs du pouvoir qui veulent utiliser des voies et moyens illégaux, afin que force reste à la loi et au peuple du Burkina », a-t-il affirmé. Il faut noter que cette session a connu la présence de plusieurs membres du CDP. Elle a débuté par l’hymne du parti et a continué avec des approbations pendant le discours du SEN.
Valérie TIANHOUN
Nimissin
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Honorables députés, maintenant, l’avenir de ce pauvre, mais combien beau, pays est entre vos mains. Il appartient à chaque député d’entendre la voix du peuple, de discerner la voie de Paix, la vraie Paix, de prendre la mesure du péril qui guette le Burkina Faso et de saisir toute la mesure de son vote. Il n’est pas encore trop tard. Vous pouvez sauver le Burkina Faso. Vous devez sauver le le Burkina Faso ! Sauvez ce pauvre pays ! Que le Tout Puissant vous inspire et vous guide. Que Dieu vous bénisse et bénisse le Burkina Faso.
22 octobre 2014Kabako
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Epouses, enfants, parents et amis de députés CDP, AU SECOOOUUURRRS !!!!. Ils sont devant une responsabilité historique. Tous ceux qui ont dirigé ce pays sont parti en le laissant la paix. Que la fin de la Paix du Grand Burkina ne passe pas par eux ! Demandez-leur de ne point accepter être complice de ce crime. L’Histoire le leur reconnaitra et le peuple DIGNE DU Burkina Faso le leur sera très reconnaissant ! Le Peuple et Dieu vous regardent. Aidez le Burkina Faso a échapper. SVP !
22 octobre 2014Proc
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Blaise a seulement besoin d’une majorité simple à l’assemblée nationale. 1/2 de 127 donc 64 députés. Or le CDP a 70 députés + 11 députés de la mouvance présidentielle = 81. Même si parmi les 81, il y a des gens qui sont contre la révision ils ne valent pas 18. Donc ça passe.
Ensuite on va au référendum conformément à l’article 164. Même si c’est par bourrage ou vol d’urnes, le OUI l’emporte. L’article 37 est révisé.
Blaise se présente en 2015. Même scénario que pour le référendum. Bourrage ou vol d’urnes. Blaise est encore président.
Chacune de ces étapes peut mettre le pays à feu.
Tout ce que je souhaite c’est que mon pays ne s’enflamme pas.
Révision pour permettre à la personne Blaise COMPAORE de rester au pouvoir. Il s’agit d’une tentative d’instauration d’un pouvoir personnel, ce qui est interdit par l’article 168 de la constitution.
22 octobre 2014Article 168
Le peuple burkinabè proscrit toute idée de pouvoir personnel. Il proscrit également toute oppression d’une fraction du peuple par une autre.
Yaya
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Le Président en décidant de procéder ainis par la voie du Parlement, se décharge de toute responsabilité de ce qui peut arriver au pays; il remet cette responsabilité sur les Députés pour prendre la décision. De cette façon, à l’heure du bilan, lui Blaise n’a pas dit d’aller au référendum; ce sont les représentants du peuple qui en ont décidé ainsi, etc. Prions pour que nos chers députés aient la sagesse de prendre la bonne décision qui mettra notre cher pays à l’abris des violences que nous craignons.
23 octobre 2014le bon citoyen
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lil faut laisser les choses se dérouler normalement. Allons au référendum et gagnons ensemble devant dieu et les hommes. Il y va de la crédibilité de notre pays et de notre démocratie. Que chacun se batte de son côté. Notez qu’aucun pouvoir n’est éternel. Chaque chose a une fin. Seulement si chacun veut tirer la couverture sur lui celle-ci finira par craquer. NOUS DEVONS CROIRE EN NOUS-MEMES ET NOUS SITUER AU DESSUS DE TOUT. SEUL LE BURKINA EST IMPORTANT
23 octobre 2014madjer
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pour un pays de 16 milions d’ames si on doit tailer une constitution pour une seule personne. ce referendum va nous combien de milliard? mieux vaut construire des hopitaux ou les equiper. ou construire des ecoles pour nos enfants et ptits freres. la constitution a bel et bien dit stop en 2015 pourquoi venir interroger les gens pour gaspiller nos maigres ressources. donc le CDP est constitué d’ignares de vauriens d’ecervelés, comme c’est eux qui le suivent ça les regarde. qui detruit son pays? c’est blaise compaoré. alors allons l’aider a tout gater.(yalema tiga et les genies du bois sacré)
24 octobre 2014FIDELCO
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Dieu benisse le Burkina Faso!!
24 octobre 2014