BONJOUR
Le « Viima ya Kâga » (la vie est dure) jadis chanté par un groupe de jeunes rappeurs burkinabè et repris en chœur lors des marches syndicales, n’est plus un refrain. C’est une réalité crue et ce n’est pas le « Viim koega » (le salaire) qui dira le contraire ; lui qui n’arrive plus à assurer ses missions […]
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