RENTREE SCOLAIRE 2014-2015 : Le PAREN vole au secours de l’école primaire Bang-pooré
Ayant eu vent des difficultés que traverse l’école primaire Bang-pooré située au secteur 17 de l’arrondissement 4 de Ouagadougou, le Parti pour la renaissance nationale (PAREN) est allé, à l’occasion de sa rentrée politique, apporter son soutien à l’administration de ladite école, le 11 octobre 2014. Le président du PAREN, Tahirou Barry, a remis une somme d’argent aux responsables de ladite école pour la location de 2 salles de classes pour l’année scolaire 2014-2015.
Avec l’application du continuum au Burkina Faso, beaucoup d’écoles traversent une période difficile en cette année scolaire. L’école primaire Bang-pooré, située au secteur 17 de l’arrondissement 4 de Ouagadougou, n’est pas à l’abri de ces difficultés liées au manque d’infrastructures. C’est pourquoi le PAREN, ayant entendu le cri du cœur de ladite école, s’y est rendu le 11 octobre dernier, pour apporter sa modeste contribution à l’administration. Parents d’élèves, élèves et enseignants, tous ont réservé un accueil chaleureux à la délégation du PAREN conduite par le président du parti, Tahirou Barry. Une somme d’argent dont la valeur n’a pas été précisée, a été remise au premier responsable de l’école pour la location de 2 salles de classes pour cette année scolaire 2014-2015. A travers cette visite, le président du PAREN, Tahirou Barry, entend saluer et rendre hommage à tous les acteurs éducatifs en général et encourager le personnel de ladite école en particulier.
Une épine de moins pour Bang-pooré
Avec un effectif de 430 élèves pour 4 salles, il va de soi, selon les responsables de l’école, qu’il y ait des problèmes d’infrastructures. Appréciant le geste à sa juste valeur, le premier responsable de l’école Bang-pooré, Pascal Compaoré, a indiqué que la somme remise est une épine de moins pour cette école qui a 7 ans d’existence. « Tout soutien est le bienvenu et nous apprécions ce geste à sa juste valeur car il va nous permettre de louer deux salles supplémentaires pour nos élèves », a-t-il expliqué. A l’entendre, son école vit plusieurs difficultés. Au nombre de celles-ci, on note le manque de salles, le manque de tables-bancs, le manque de clôture et d’électricité. Raison pour laquelle il a souhaité vivement que ce genre de gestes se multiplie pour l’édification du système éducatif au Burkina Faso.
Mamouda TANKOANO