BONJOUR
Le constat est là, implacable. La mendicité, il faut le dire, est devenue un métier pour certains à Ouagadougou tant et si bien qu’ils parcourent à longueur de journée les rues de la capitale. On retrouve certains au niveau des feux tricolores. Et certains mendiants, pour mieux toucher la sensibilité de ceux auprès de qui ils quémandent, prennent le soin de s’appliquer des produits si bien que quand souffle le vent, ils versent des larmes ; présentant ainsi l’aspect de grands nécessiteux. Voyez-vous ? Ça ne fait pas sérieux. Il ne faut pas abuser de la magnanimité des uns et des autres.
Simone DANDJINOU (Stagiaire)