BONJOUR
Des cas où des filles de ménages ont dévalisé les maisons de leurs patronnes respectives avant de disparaître dans la nature, sont légion. Malheureusement, on a l’impression que certains ne tirent pas leçon des erreurs des autres, si fait qu’ils continuent de prendre des risques inconsidérés en engageant des aides ménagères dont ils ne connaissent pas les origines et ce, en dépit du contexte qui est le nôtre. Voyez-vous ? Il faut que les uns et les autres sachent raison garder au risque de se retrouver groggys de leurs propres turpitudes.
Boundi OUOBA