BONJOUR
Alors que les femmes de la brigade verte, ainsi qu’on les appelle, s’emploient à rendre propres les rues et autres artères de la ville de Ouagadougou, il s’en trouve des gens qui prennent du plaisir à y jeter des ordures. C’est ce qui explique que l’on retrouve très souvent des morceaux de papier ou de lotus, des amandes de fruits et des sachets usés dans la rue. Voyez-vous ? Si ce n’est pas de l’indiscipline ou de l’incivisme, à quoi cela ressemble-t-il ? En tout cas, il faut que les uns et les autres comprennent que l’assainissement de notre cadre de vie exige une prise de conscience individuelle et collective.
Thérèse OUEDRAOGO
(Stagiaire)
