BONJOUR
Le nombre des maisons ou espaces de réjouissances à Ouagadougou, a connu une augmentation considérable ces dernières années. Il y en a de toutes sortes: des maquis en plein air, des bars climatisés, des boîtes de nuit, etc. Mais, le plus alarmant dans cette situation, c’est que les week-ends, ces endroits refusent du monde et les parkings débordent jusqu’au goudron. Les usagers de certaines voies publiques sont ainsi confrontés non seulement aux engins qui encombrent et perturbent la circulation, mais aussi et surtout à des personnes (parfois saoules) qui préfèrent occuper les abords de la chaussée pour « se saouler la gueule » comme on le dit, oubliant même qu’ils s’exposent ainsi à des dangers. La municipalité ainsi que les gérants des lieux de réjouissances sont donc interpellés.
Colette DRABO