BONJOUR
Six jours après l’insurrection populaire ayant abouti à la démission du président Blaise Compaoré, l’Administration publique burkinabè peine à fonctionner à plein régime. Certes, la dissolution du gouvernement a perturbé le fonctionnement de tous les départements ministériels. Mais l’administration ne doit, en aucune manière, s’arrêter. C’est pourquoi il est impératif que les uns et les autres se remettent à la tâche. L’arrêt de travail observé durant les troubles sociopolitiques de la semaine dernière, a dû causer un retard qu’il faut impérativement rattraper en travaillant d’arrache-pied.
Thierry Sami SOU
matyp & K'Emp
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Je crois que c’est dû au fait que certains se vantaient d’avoir la carte CDP, désormais inutile.
5 novembre 2014