BONJOUR
Avec le système des gardes, qui réduit le nombre de pharmacies ouvertes, le week-end, c’est souvent la bousculade aux guichets. Le désordre est créé par des clients qui se croient plus pressés que les autres. Ils arrivent, bousculent tout le monde, sans égard pour leurs prédécesseurs, pour harceler les pharmaciens. Ces derniers, bien entendu, sont parfois perdus face à la cohue. Il convient donc, à défaut de dompter la légendaire indiscipline des Burkinabè, de mettre un système d’ordre en place dans les pharmacies de garde. Cela permettra d’organiser l’accès aux guichets et donc de rendre efficient le travail des pharmaciens. Tout le monde y gagnerait.
Boundi OUOBA