BONJOUR
Des meetings par ci, des assemblées générales par là. 2020 n’est plus loin et les partis politiques sont déjà en précampagne. Cela ne saura être condamnable pour ceux qui veulent conquérir le pouvoir d’Etat. Le hic, c’est le traitement réservé aux journalistes qu’ils invitent pour la couverture de leurs différentes activités. Non seulement, ils ne paient pas de factures alors qu’ils en devraient puisque nous sommes en pleine communication mais, pire, ils mettent parfois la vie des hommes et femmes de médias en danger lorsque certains meetings se déroulent hors de la capitale. Les premiers responsables de ces partis vont la veille dans la ville où se tient le meeting, mais choisissent de faire voyager les journalistes à des heures indues (3h ou 4h du matin). A cela s’ajoutent les retards lors de ces différentes rencontres quand elle sont organisées à Ouagadougou.
Il serait bien que ces leaders politiques changent de fusil d’épaule, il y va de l’intérêt de tous.
Issa SIGUIRE