BONJOUR
Afin de faciliter l’obtention, par les populations, de leurs pièces d’identité, l’Office national d’identification (ONI) a procédé à l’ouverture d’antennes dans plusieurs régions du pays. Ce qui est une très bonne chose en soi. Malheureusement, on fait le constat qu’en dépit de tout, c’est la croix et la bannière pour certains Burkinabè de se faire établir le précieux sésame. Si fait qu’ils peuvent poireauter deux à quatre mois après le dépôt de leur dossier. Et ce n’est pas tout. Car, certains s’entendent, au bout du compte, dire que leur dossier a été égaré et qu’il faudra en reconstituer un autre. Voyez-vous ? Il faut que les choses changent pour autant que l’on veuille permettre à chaque citoyen de disposer d’un document d’identité.
Didèdoua Franck ZINGUE