BONJOUR


Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) bat son plein mais l’on fait le constat que des marchands s’installent anarchiquement aux abords des voies menant au siège du festival, pour écouler leurs produits. Ce qui obstrue davantage les routes qui sont déjà exiguës. Il faut que la sécurité veille au grain car, le FESPACO, ce n’est pas le désordre ni la pagaille. Du reste, il y a une rue marchande au siège du festival, qui permet à ceux qui le désirent, de valoriser leurs produits. C’est dire s’il faut être vigilant afin de ne pas pénaliser ceux qui ont loué les stands pour vendre leurs produits et contribuer ainsi à la promotion de la culture et du cinéma.

 

Issa SIGUIRE

 


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