BONJOUR


De la nourriture et de l’eau ! C’est ce que demandaient des femmes déplacées internes qui avaient investi, le 22 mars dernier, les rues de Ouahigouya. Tout en espérant que leur cri de détresse sera entendu, il y a lieu de demander aux autorités de prendre les dispositions nécessaires pour minimiser les risques de crise alimentaire qui se profile à l’horizon, sous peine de voir éclater des émeutes de la faim. Ne dit-on pas qu’il vaut toujours mieux prévenir que guérir ?

 

Didédoua Franck ZINGUE


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